• 1833 : Liège : la Congrégation reprend l’école primaire gratuite pour filles dont s’occupaient Jeanne Haze et sa sœur dans une petite maison du Potay. Suite à différentes fusions, l’école existe toujours sous le nom de « Centre scolaire Saint-Barthélemy ».
  • 1836 : Liège, quartier Saint-Léonard (Sainte-Foy) : la Congrégation des Filles de la Croix ouvre une école gratuite. Cette école existe toujours aujourd’hui sous le nom d’«Institut Sainte-Foy ».
  • 1842 :  Liège, Sainte-Véronique : création  d’une école gardienne et d’une école primaire.

1897 :  Adjonction d’une école moyenne, de cours supérieurs et d’une école d’apprentissage.
1926 :  Ouverture d’un lycée pour jeunes filles.
Aujourd’hui : l’Institut Sainte-Véronique accueille plus de trois mille enfants et jeunes répartis sur quatre sites différents.

  • 1842 : Chênée : ouverture d’une école fondamentale.

1866 : Ajout d’un pensionnat et de cours professionnels
De nos jours : l’Institut Sainte-Thérèse d’Avila est devenu un établissement d’enseignement secondaire technique et professionnel complet.

  • 1846 : Stavelot confie pour un temps l’école communale aux Filles de la Croix, puis  celles-ci fondent une école libre. Après la seconde guerre mondiale, la Congrégation dirige l’école maternelle, primaire et professionnelle Saint-Joseph qui est aujourd’hui incorporée dans le Centre scolaire Saint-Remacle.
  • De 1847 à 1869 : Spa: les Filles de la Croix se voient confier l’école communale à la demande de la ville.
    1869: Spa: Les Filles de la Croix sont déchargées de l’école communale et fondent une école primaire gratuite, qui prendra le nom d’Institut Sainte-Croix. Petit-à-petit, l’Institut propose une offre d’enseignement diversifiée: enseignement fondamental, enseignement spécial, école professionnelle. Les Filles de la Croix confient l’organisation de l’Institut à la paroisse en 1973 mais elles y restent actives jusqu’en 1983.
    1974: l’école primaire et l’école primaire spéciale deviennent deux entités distinctes. L’école primaire spéciale s’appelle  « Les Perce-Neige ». Elle poursuivra ses activités jusqu’en 2004.
    1862 : Spa: Fondation du pensionnat Sainte-Croix. Il sera en activité jusqu’en 1912.
    1959 : Spa: Les religieuses ouvrent une école moyenne épiscopale subventionnée,appelée Notre-Dame des Fagnes. Elle comprend une section moderne et une section professionnelle.
    1985: fusion de Notre-Dame des Fagnes avec lInstitut Saint-Roch Theux et Spa.
  • 1854 : Malmedy :les Filles de la Croix prennent la direction de l’école fondamentale et de l’école « supérieure » (à laquelle est adjoint un pensionnat). Mais à cause du Kulturkampf, elles doivent y renoncer en 1878.
  • De 1857 à 1870 : Pepinster : gestion d’une école.
  • 1862 : Mons-Lez-Liège : les Filles de la Croix s’occupent des classes primaires et d’une classe gardienne.
  • 1867 :  Waremme :  fondation d’un pensionnat/externat auxquels on adjoignit une école ménagère puis une école de laiterie

1905 : ouverture d’une école d’adultes.
De nos jours : l’Institut Notre-Dame poursuit la tradition des Filles de la Croix (cliquez ici pour l’accès direct au pdf de l’historique réalisé par des professeurs)

  •  1866 :  Liège, rue des Bons-Enfants : ouverture d’une école primaire.

Après de nombreuses évolutions (création de sections moyennes et professionnelles, …), elle devient l’Institut Saint-Martin.
Aujourd’huiHelmo Saint-Martin.

  • 1871 : Liège, rue Hors-Château : fondation d’une École normale pour institutrices primaires.

1896 : création d’une section pour la formation d’institutrices gardiennes.
1901 : création de la section des Régentes
Aujourd’hui : Helmo Sainte-Croix accueille actuellement plus de mille étudiants et propose en outre une spécialisation en orthopédagogie.

  • 1875 : Theux :la Congrégation fonde un pensionnat.

1883 : on y adjoint un externat pour les enfants de la localité.
1887: Création d’une école primaire bientôt complétée par une section maternelle.
Après la première guerre mondiale : les études sont réorganisées en cours primaires, moyens,  supérieurs et professionnels.
1935: le pensionnat est affecté à l’accueil de jeunes présentant une déficience intellectuelle et son histoire se confond avec celle de l’IMP Saint-Joseph de Theux.
1982 : Dirigée par une équipe de laïques, l’école primaire poursuit ses activités sous le nom de « École libre de Theux « 

  • 1879 : Befve : ouverture d’une école gardienne, d’une école primaire, d’une école moyenne (trois premières années des humanités modernes et deux années de cours supérieurs) et d’une école professionnelle, ainsi que d’un pensionnat.
    1932 : l’enseignement d’une seconde langue est introduit dans l’école : l’allemand ou le néerlandais, au choix.
    1960 :
    fermeture de l’école moyenne.
    1972 :
    fermeture de l’école gardienne et primaire.
  • 1881 : Liège, paroisse Sainte-Walburge : les Filles de la Croix commencent une école  et la quittent en 1919 après l’avoir laissée en de bonnes mains.
  • 1882 : Montegnée : les Sœurs fondent une école maternelle et primaire qui existe toujours sous le nom d’école Saint-Lambert.
  • De 1884 à 1919 : Liège, quartier de Saint-Pholien : les Filles de la Croix tiennent une école.
  • 1894 : Awans : ouverture d’une école. Dès 1895, l’école est « adoptée » par les autorités communales.
  • De 1897 à 1921 : Herstal : les Filles de la Croix sont les institutrices de l’école catholique.
  • 1896 : Liège, rue Hors-Château : fondation  d’une école professionnelle.

Quinze ans plus tard : l’école déménage rue Delfosse et les sections se diversifient : coupe, lingerie, commerce, peinture, cours ménagers …
Actuellement : l’offre d’enseignement de l’Institut Marie-Thérèse se décline en une vaste gamme d’options.

  • 1898 : Bois-de-Breux (Chênée) : début d’une école primaire aménagée grâce à la générosité du baron de la Rousselière, devenue l’école Saint-Joseph.
  • 1930 : Le château des Bruyères abrite une école d’infirmières: l’école d’infirmières Sainte-Julienne à Bois-de-Breux. Sinistrée pendant la guerre de 40/44, elle émigre rue Saint-Gilles et deviendra l’institut Sainte-Julienne, à proximité du centre médical du Beauregard. Des générations d’infirmières y seront formées et feront, entre autres, leurs stages à la clinique. Actuellement : la formation des infirmières est assurée par l’école S2J (brevet en soins infirmiers) et par Helmo Sainte-Julienne (baccalauréat en soins infirmiers).